Préparation :
* Préparer la marinade en mélangeant dans un bol la sauce de soja, le sucre et le poivre. Mélanger jusqu’à complète dissolution du sucre.
* Disposer les pavés de saumon dans une boîte en plastique hermétique et les arroser avec la marinade. Fermer la boîte et réserver au moins 4 h au réfrigérateur, en retournant les pavés dans leur marinade à plusieurs reprises.
* Égoutter soigneusement les pavés de saumon sur du papier absorbant et les couper en tranches d’environ 1/2 cm d’épaisseur.
* Servir aussitôt, éventuellement saupoudré de graines de sésame noir et accompagné de gingembre au vinaigre et de pâte de wasabi.
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Les fruits sont sources de vitamines et de sels minéraux indispensables pour notre organisme.
Pour prévenir ou retarder l'apparition de cancers, pas d'aliment miracle, mais des habitudes alimentaires équilibrées, dans la durée, estiment des chercheurs réunis à Paris à l'occasion du congrès Eurocancer. Une table ronde sur le thème "Nutrition et cancer" animée par le Pr Philippe Bougnoux, cancérologue au CHU de Tours, a permis de faire le point sur ce thème.
Cancer et alimentation : gare aux effets d’annonce !
Sushi, thé, café... De nombreux articles ont mis l’accent sur des faits anecdotiques, suscitant parfois des espoirs inappropriés. "Il y a eu beaucoup d'effets d'annonces et beaucoup d'études peu sérieuses, ce qui ne facilite pas les choses", reconnaît le professeur Bougnoux, cancérologue au CHU de Tours, qui participe aux travaux de l'unité Inserm "Nutrition, croissance et cancer". "Il ne s'agit pas de manger du brocoli ou du poisson mais d'acquérir des habitudes alimentaires équilibrées".
Pour étayer la complexité du dossier, le Pr Bougnoux cite le cas des escargots, pendant un temps présentés comme protégeant du cancer. Mais si la chair des premiers escargots testés, venus de Crète, était riche en composants protecteurs, ce n'était plus le cas avec les escargots polonais arrivés par la suite sur le marché. Même chose pour les poissons d'élevage qui perdent leur richesse en acides gras polyinsaturés considérés comme protecteurs car ils n'ont plus accès au phytoplancton, leur nourriture naturelle.
Selon le cancérologue, la part nutritionnelle du risque de cancer a une valeur comprise entre 25 et 40 %, même s’il rappelle que l'alimentation "ne donne pas le cancer car ce sont des mutations génétiques qui sont en cause". Le rôle de l'alimentation a cependant fait l'objet de grandes études épidémiologiques qui n’ont pas mis à jour les mécanismes en cause mais ont pu identifier des facteurs de risque et de protection.
"Manger bio, c'est bon pour la santé". L'affirmation sonne comme une évidence: 95% des consommateurs de ces produits déclarent choisir le bio pour préserver leur santé, rapporte le baromètre 2009 de l'Agence Bio.
L'absence de pesticides et de produits chimiques: voilà l'argument santé du bio, rappelle le Dr Laurent Chevallier, praticien attaché au CHU de Montpellier, auteur de l'ouvrage Les 100 meilleurs aliments pour votre santé et la planète (Editions Fayard). "Nous recevons régulièrement des résultats d'études au CHU montrant que les pesticides peuvent avoir un impact négatif en termes de rhumatismes, de glaucomes ou encore de maladies cardiovasculaires", explique-t-il.
Les agriculteurs sont les plus exposés
Si les études concernant l'impact des pesticides sur la prévalence des cancers sont encore rares, un lien de cause à effet a été récemment démontré. Publiée en février dernier par le Centre d'immunologie de Marseille-Luminy (CIML), l'étude en question décrit l'apparition de précurseurs de lymphomes chez les agriculteurs exposés aux pesticides.
Autres conclusions récentes, en juin dernier, du CHU de Pointe-à-Pitre et de l'Inserm: le risque de développer un cancer de la prostate chez les agriculteurs exposés au chlordécone serait de 80% supérieur à la normale. Ce pesticide organochloré, utilisé jusqu'au milieu des années 1990 dans les plantations bananières de Guadeloupe et de Martinique, serait en partie responsable de la très forte prévalence des cancers de la prostate dans les Antilles françaises.
"Pas de quoi alerter le consommateur"
Ces recherches se penchent uniquement sur les personnes directement exposées. Mais qu'en est-il des résidus chimiques présents dans nos assiettes? La situation est d'autant plus préoccupante que leur teneur est parfois supérieure à ce qui est autorisé: 0,9% des fruits et légumes issus de l'agriculture biologique contiennent des résidus de pesticides supérieurs aux normes, rapporte l'Agence européenne pour la sécurité alimentaire (Efsa)... qui assure toutefois qu'"aucun des pesticides évalués ne suscitait d'inquiétude pour la santé".
"Pas de quoi alerter le consommateur", renchérit le Dr Jean-Michel Lecerf, de l'Institut de Lille. Le nutritionniste insiste pour que l'on distingue l'exposition directe à laquelle sont soumis les agriculteurs et les faibles doses qui échouent dans nos assiettes. Laurent Chevallier nuance ce point de vue, regrettant que les experts n'aient "pas étudié les associations entre ces différents produits chimiques".
Des avis contradictoires
Certaines publications minimisent toutefois les bienfaits de l'alimentation bio. L'une d'elle publiée en avril dernier affirmait même que le bio pourrait être... dangereux. "La réduction des intrants chimiques, qui favorise la production par la plante de substances antioxydantes bénéfiques, favorise aussi celle de métabolites secondaires et toxines naturelles dont l'innocuité n'est pas garantie", avancent les auteurs, deux anciens de l'Institut national de recherche agronomique (Inra).
"Pendant vingt siècles, on a donc consommé des produits toxiques, ironise le Dr Laurent Chevallier. Rappelons que l'introduction des intrants chimiques est quelque chose de très récent." Sans compter que Léon Guéguen et Gérard Pascal, auteurs de cette étude, n'étaient plus à l'Inra depuis des années au moment de sa publication, rappelle-t-il.
Conflits d'intérêt?
"Ce type d'étude ne présente aucun intérêt", soupire le Dr Laurent Chevallier, qui déplore "les conflits d'intérêts" entre chercheurs et industrie agroalimentaire. Selon lui, "c'est le simple bon sens qui doit nous faire choisir le bio".
Autre exemple: pendant l'été 2009, des chercheurs britanniques dépêchés par l'Agence britannique des normes alimentaires (FSA), concluaient, après examen de 162 études sur le bio, à l'absence d'avantage notable pour la santé du côté du bio.
Une étude contestée dès sa publication. "Elle est très critiquable sur le plan méthodologique", juge le Dr Denis Lairon, directeur de recherche à l'Inserm. Un des critères de pertinence pour sélectionner les publications scientifiques à prendre en compte sur les quelques 50 000 existantes est en effet... l'emploi de la langue anglaise. Un "parti pris" qui a "éliminé du coup de nombreuses publications importantes", souligne le chercheur.
Pour 2 personnes - 400 g d’escalope de poulet :
1. Versez le lait de coco dans une poêle.
2. Ajoutez le curry.
3. Faites chauffer à découvert à feu doux 15 min environ.
4. Découpez les escalopes de poulet en morceaux.
5. Déposez les dans la poêle.
6. Faites cuire à feu doux 6 à 8 min. Le lait de coco ne doit pas bouillir.
7. Sortez les morceaux de poulet de la poêle.
8. Déposez les sur un plat.
9. Du riz basmati, des brocolis, des épinards accompagneront volontiers ce curry.
10. Parsemez de coriandre ciselée.
Remarque : Surveillez bien la cuisson du poulet, trop cuit il devient sec.
Y.P
La "crise de foie", qu'est-ce que c'est ?
La "crise de foie", d'un strict point de vue médical, n'existe pas. Il s'agit en fait d'une expression populaire pour désigner un problème digestif peu grave.
La "crise de foie" fait le plus souvent son apparition le soir, après un repas trop riche ou trop arrosé : Ces excès empêchent la bonne sécrétion de la bile, indispensable à la bonne digestion des aliments. Et si les douleurs semblent situées sur le côté droit vers le foie, c'est en fait au niveau de la vésicule biliaire que tout se passe. Elle se contracte en effet brutalement pour libérer des sels dont le rôle est d'aider à la digestion des graisses.
Que faire alors ?
Il n'y a pas de solution miracle : il faut mettre votre système digestif au repos. Préférez donc, jusqu'à que vous vous sentiez mieux, du riz, des bouillons, des compotes de fruits, etc, en veillant à mastiquer lentement. Buvez beaucoup d'eau ou d'infusions de plantes type tilleul, qui favorisent un bon fonctionnement biliaire.
Enfin, éloignez-vous de toutes les graisses, de l'alcool et des bons chocolats…
Nous vous rappelons que la crise de foie est bénigne : si les symptômes persistent malgré le traitement, parlez-en à votre médecin. Une gastro-entérite ou une intoxication alimentaire donnent parfois des signes proches de ceux de l’indigestion.
La prévention, c'est mieux
Pour ne pas gâcher votre réveillon, il est possible d'agir en prévention. Avant un repas de fête, vous pouvez vous prémunir contre ces embarras gastriques par quelques trucs. D'abord, veillez à ne pas trop fatiguer votre système digestif le repas précédant la fête : mangez léger et des choses faciles à digérer (des sucres lents par exemple).
Un repas qui s'annonce arrosé peut aussi se préparer en avalant une cuillère d'huile d'olive avant le repas. Pas très agréable, mais efficace…
Enfin, juste avant le repas - et éventuellement après -, vous pouvez prendre des médicaments qui soulagent et préviennent les digestions difficiles
Alors bonne dégustation de chocolats... mais gare aux excès !
R.T
journaldesfemmes.com
www.sotonic-coach-paris.fr
Gratin d’aubergines en sauce tomate (pour 4 personnes) :
* 4 tomates
* 2 aubergines
* 400ml de sauce tomate fraiche (ou en pot)
* 100g d’Emmenthal râpé
* 20 ml d’huile d’olive
* 1 gousse d’ail
* Herbes de Provence
Laver les aubergines et les tomates. Les couper en tranches de 0,5 mm d’épaisseur. Les déposer dans une passoire, saler et faire dégorger pendant au moins 1 heure.
Egoutter les légumes. Faire chauffer l’huile d’olive dans une cocotte. Ajouter les légumes, la gousse d’ail dégermée, la sauce tomate et les herbes de Provence puis laisser mijoter 15 minutes.
Préchauffer le four à 180°C.
Verser les légumes mijotés et leur sauce dans un plat à gratin, recouvrir avec l’Emmenthal fraîchement râpé et enfourner pour 30 minutes de cuisson.
O.T
Pour une alimentation équilibrée, votre régime minceur ou vos idées de recettes, voici votre calendrier des fruits et légumes pour le mois de octobre.
Voici 56 fruits et légumes pour le mois d'octobre :
T.C
Autrefois appelé limon, qui vient de l'italien limone, le citron est le fruit du citronnier (Citrus limon). Il est protégé par une écorce jaune ou verte, plus ou moins épaisse, dont le parfum est très recherché pour aromatiser les boissons et les gâteaux.
Sa chair juteuse se distingue par son goût acide. Son jus est utilisé pour assaisonner les salades et relever certains plats.
Le citron est un fruit, très peu calorique, que l'on apprécie particulièrement pour sa teneur en vitamine C.
Plus qu'un fruit, le citron est aussi utilisé dans de nombreux domaines (cosmétologie...). Par ailleurs on lui reconnaît des propriétés antiseptiques liées à la présence d'acide citrique : en effet il est utilisé dans de nombreux traitements contre le mal de gorge.
Ses caractéristiques :
- Calories : 14
- Cholestérol : 0
- Protéines : 0.6
- Lipides : 0
- Glucides : 3.2
La consommation du citron est déconseillée dans les cas suivants : ulcère gastro-duodénal, gastrite hyperchlorhydrique.
O.T.