La démarche est innovante, La Fédération française d’athlétisme a sondé, ausculté et observé au microscope la course à pied, ses usages et plus encore ses pratiquants. Entre avril et septembre 2013, elle a réalisé, avec l’agence SportLab*, la première enquête de fond, à la fois qualitative et quantitative, sur la course à pied et les Français. Un document unique dont les résultats apportent un éclairage nouveau et passionnant sur la réalité de cette pratique, ses enjeux et ses perspectives (lire la suite...).
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Nous nous engageons sur la qualité de nos services :
Cette charte constitue un levier très important de la qualité de notre relation.
• Des intervenants compétents et pédagogues recrutés pour :
• Un cadre réglementaire :
Les massages sont effectués par des masseurs-kinésithérapeutes, les autres techniques ne sont associés à aucune technique de kinésithérapie, aucune technique médicale ou gymnastique. (Art.1er du décret N°96-879 du 8/10/96).
• Un programme et un suivi, personnalisés :
• Nos interventions :
• Votre satisfaction
L’indice de masse corporelle (IMC ; en anglais, BMI : Body Mass Index) est une grandeur qui permet d'estimer la corpulence d'une personne.
Cet indice se calcule en fonction de la taille et de la masse.
L’Organisation mondiale de la santé a défini cet indice de masse corporelle comme le standard pour évaluer les risques liés au surpoids chez l'adulte. Il a également défini des intervalles standards (maigreur, indice normal, surpoids, obésité) en se basant sur la relation constatée statistiquement entre l'IMC et le taux de mortalité.
Cet indice est surtout utile pour mettre en évidence l'augmentation des facteurs de risques. Il n'a pas vocation à déterminer précisément la valeur de la masse grasse et encore moins de la masse musculaire et osseuse... lire la suite
Le trail est une épreuve de course à pied se déroulant en milieu naturel sur un parcours utilisant des chemins ou sentiers dont la totalité des surfaces goudronnées n’excèdent pas 15% à 25% de la distance totale du parcours.
Suivant les pays ou les régions, la définition du terme donne des distances différentes. On peut trouver des trails pouvant couvrir des distances de 10 km à 160 km (sur plusieurs jours). En France, la Fédération française d'athlétisme donne les définitions suivantes :
- course nature : course pédestre sur une distance inférieure à 21 km, avec un parcours goudronné ne dépassant pas 25 % ;
- trail court : course pédestre sur une distance comprise entre 21 et 42 km, avec un parcours goudronné ne dépassant pas 25 % ;
- trail : course pédestre sur une distance supérieure à 42 km, avec un parcours goudronné ne dépassant pas 15 %.
- ultra-trail : course pédestre sur une distance supérieure à 80 km, avec un parcours goudronné ne dépassant pas 15 %.
La plus facile est la course nature. Le trail court, le trail et l'ultra-trail sont plus exigeants et nécessitent des entraînements plus approfondis.
Le trail a évolué pour devenir une course au parcours innovant. Il existe même des trails urbains ! Plusieurs villes proposent de tels parcours : escaliers et matériels urbains sont utilisés par les coureurs dans leur course.
Le Lyon Urban Trail, proposé depuis cinq ans par la ville, propose trois parcours, dont un qui fait passer les participants par les collines de Fourvière et de la Croix Rousse. Douze côtes et 1 100m de dénivelé positif composent cette course.
Les courbatures musculaires correspondent à des impressions de rigidité musculaire à la fin d'un effort important et long. Les courbatures font mal, mais la sensation n'a rien à voir avec la douleur insupportable de la crampe. Le sportif courbaturé n'est pas immobilisé et impotent, il ne ressent pas intensément la douleur mais il doit tout de même prendre certaines précautions pour éviter toute complication.
Les courbatures peuvent apparaître immédiatement après l'effort ou quelques heures après, pour atteindre leur maximum quelques fois le lendemain des épreuves.
Certains gestes sportifs les provoquent plus que d'autres, notamment les courses en descente et les efforts contre la pesanteur. Ces efforts en "excentrique" ( le muscle se contracte en s'étirant ) sont les plus traumatisants, le muscle étant sollicité pour freiner un mouvement.
Les courbatures sont importantes pendant 2 à 3 jours et leur effet s'estompe en une bonne semaine.
Dans le cas des courbatures, contrairement aux crampes, les fibres musculaires sont lésées, certaines même déchirées, mais ces lésions sont minuscules, ne sont visibles qu'à l'examen au microscope d'un fragment de muscle prélevé par ponction, et ne mettent pas le muscle immédiatement en danger.
Trois causes sont principalement à l'origine des courbatures:
Des petits épanchements de sang provoqués par rupture des capillaires sanguins.
Des micro-traumatismes entraînant une lésion des cellules musculaires.
Une accumulation de déchets ( ammoniac…) dans le muscle.
L'accumulation d'acide lactique a longtemps été avancée comme cause des courbatures. Pourtant les courbatures ne sont pas liées à une production d'acide lactique comme dans les crampes. L'acide lactique est sécrété par un muscle qui se contracte dans un environnement pauvre en oxygène par exemple quand l'effort fourni est intense et prolongé. Dès que le mouvement cesse, les concentrations en acide lactique tendent vers la normale.
Les gaines qui entourent les faisceaux de fibres comme une fine peau, peuvent donc être soumises à de minuscules déchirures. Tout rentre dans l'ordre rapidement et les cicatrices sont efficaces et indolores.
Préparation :
* Préparer la marinade en mélangeant dans un bol la sauce de soja, le sucre et le poivre. Mélanger jusqu’à complète dissolution du sucre.
* Disposer les pavés de saumon dans une boîte en plastique hermétique et les arroser avec la marinade. Fermer la boîte et réserver au moins 4 h au réfrigérateur, en retournant les pavés dans leur marinade à plusieurs reprises.
* Égoutter soigneusement les pavés de saumon sur du papier absorbant et les couper en tranches d’environ 1/2 cm d’épaisseur.
* Servir aussitôt, éventuellement saupoudré de graines de sésame noir et accompagné de gingembre au vinaigre et de pâte de wasabi.
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Qu'est-ce qu'une tendinite?
Une tendinite est une inflammation des tendons, due à des gestes répétitifs, au surmenage ou à des micro-traumatismes. Quelques-unes des fibres qui constituent le tendon se rompent et sont le siège d’une réaction inflammatoire (« tendinite »), atteignant la gaine synoviale entourant le tendon.
Les tendinites se manifestent par des douleurs lors des mouvements et parfois par une gêne ou une limitation des mouvements lorsqu’elles sont importantes. Elles peuvent survenir progressivement, au repos ou à l’effort. La tendinite fragilise le tendon.
Les tendinites touchent presque toutes les articulations et les groupes musculaires des membres supérieurs et inférieurs.
Quoi faire pour guérir une tendinite?
- Arrêter et reposer le muscle douloureux.
- Attendre la disparition complète de la douleur.
- Reprendre l’entraînement avec douceur.
- Suivre un traitement à base d’anti-inflammatoires.
- Consulter un médecin au besoin.
Quoi faire pour prévenir les tendinites?
- Il est recommandé de prendre une pause de 5 à 10 minutes après chaque heure passée dans la même position.
- Détendez vos muscles et étirez-vous.
- Réchauffez toujours vos muscles avant de commencer à jouer (pratiques, spectacles, etc.)
La première explication, générale, s'applique à toutes les maladies contagieuses par voie aérienne (grippe, bronchite infectieuse, rhume, angine virale, etc.). Selon un rapport de 2009 de l'Institut de veille sanitaire sur la physiologie du froid, «la tendance à la concentration de la population dans des espaces confinés et peu ventilés (quand il fait froid) augmente le risque d'infections croisées». Pour Bruno Lina, directeur du laboratoire de virologie et pathologies humaines de la faculté de médecine de Lyon, «le confinement est un élément déterminant» pour expliquer la recrudescence hivernale de pathologies respiratoires.
D'autre part, notre corps met en place une stratégie pour réchauffer l'air froid inspiré avant son arrivée dans les poumons. Les muqueuses nasales transfèrent à cet air de l'eau à la température du corps (phénomène qui explique au passage le «nez qui coule» en hiver). Ce transfert de chaleur humidifie l'air et provoque l'assèchement de la barrière physique que constitue le mucus. Les virus et les bactéries entrent alors plus facilement dans notre corps.
Le froid altère parallèlement le fonctionnement de notre système immunitaire. «Les cellules se déplacent moins vite, ce qui ralentit la réponse immunitaire et laisse du temps au virus pour s'installer», note Bruno Lina. Les cils qui nettoient régulièrement nos bronches sont également moins efficaces lorsque les températures sont hivernales. Tous ces éléments expliquent, au moins en partie, la recrudescence en hiver des rhumes et autre bronchites. C'est vraisemblablement ce qui a donné naissance à l'expression «prendre froid».
Le virus plus résistant quand il fait froid
Du côté des virus, comme les rhinovirus responsables des rhumes, le froid constitue au contraire un avantage. En attendant de se mettre au chaud dans notre corps pour «éclore», le microbe est enveloppé dans une petite coque protectrice. Cette dernière est d'autant plus résistante que l'air est froid. En hiver, la diminution de l'ensoleillement limite aussi l'exposition des virus aux rayons ultraviolets qui les dégradent naturellement. Autrement dit, la durée de vie d'un virus augmente lorsque la température baisse et que le soleil se cache. Son pouvoir contagieux en est renforcé. À noter que ces deux éléments valent aussi pour le virus de la gastro-entérite dont les épidémies chez l'enfant surviennent systématiquement en hiver.
L'augmentation des pathologies cardiovasculaires est quant à elle une conséquence quasi mécanique de la température. Lorsqu'il fait froid, les vaisseaux sanguins se contractent pour limiter les pertes de chaleur de l'organisme. Cela induit une plus grande viscosité du sang qui met notre cœur à rude épreuve. Des chercheurs américains ont également soutenu en 2012 qu'une alimentation moins saine et une diminution de l'activité physique en hiver pourraient aussi expliquer cette recrudescence de maladies cardiovasculaires.